HISTOIRE DU CHAT MODERNE

Bonjour à tous et merci d’être ici. Je suis Sébastien, fondateur du blog Le Chat Moderne. Cela fait maintenant plus de 15 ans que je vis quotidiennement avec au moins un chat à mes côtés. Une véritable admiration depuis mon enfance coule dans mes veines pour nos amis félins. C’est en partie grâce à ma Nounou, Madame Jacquemin, véritable amoureuse des animaux. Ainsi, dès l’âge de 3 ans, j’ai pu grandir avec un chat Bombay (les chats noirs typiques) et un Norvégien (chat au style Persan, mais en plus cool quand même).

C’est de là que cet amour a grandit et qu’il me donne aujourd’hui envie de créer ce blog sur les chats en me basant sur mes différentes expériences qui aujourd’hui continuent de se multiplier. Laissez-moi vous raconter le début de l’histoire…

A 10 ans, mon premier chat : Un Européen.

Voyant cet amour croissant envers les minous, Il a été donc logique que dès l’âge de 10 ans (merci papa et maman) j’ai pu acquérir mon premier chat.

Nommé modestement Césario, un Européen (terme désignant les chats sans races) qui j’ai (malheureusement) acheté au Grand Littoral à Marseille. Cette première expérience a été heureuse ET malheureuse. A l’époque (début 2000) il n’y avait pas autant d’information et de détails sur les réseaux animaliers. Un public non averti comme moi ne pouvait se douter du trafic qu’engendre ce « commerce » qui n’en n’est pas un.

Malgré un amour sans failles, ma jeune expérience ne m’a pas permis de mettre ce chat dans les meilleurs conditions pour s’épanouir. Je parlerai plus tard de l’adoption des chats pour les enfants, un phénomène à double tranchants.

Césario nous quitta 4 ans après seulement, victime d’une crise cardiaque qui l’emporta. A 14 ans, je n’avais trop compris pourquoi un chat si jeune pouvait mourir si vite. Aujourd’hui, je sais grâce à de nombreuses enquêtes de la SPA (Société Protectrice des Animaux) que la maltraitance animale (qui provient en majeur partie des pays de l’EST mais pas que) dans les réseaux animaliers sont légions et que beaucoup d’animaux, chats, chiens, NAC… sont ainsi beaucoup plus sensibles aux maladies et y compris les maladies cardiaques.

Quelle tristesse. J’étais ravagé alors que au final, de part se manque de culture, j’ai participé à la mort tragique d’un animal nait pour mourir trop tot. Ce fût là l’une de mes premières leçons. Fini les animaleries !

Mon premier chat de race : Un Sacré de Birmanie

Et là Waouh ! De longues années après le décès de Marius, j’ai pu prendre mon courage à deux mains et me lancer dans l’adoption d’un petit être à poils mi-longs. J’ai, cette fois-ci, choisi une éleveuse reconnue pour le traitement parfait de ces portées. Basé à Pignan dans le Var, l’élevage de Barbeiranne. Je n’étais pas spécialement pour l’adoption d’un chat de race, loin de là. Néanmoins, après réflexion, ce n’est parce qu’un chat a été voulu, désiré, limite dessiné, qu’il n’a pas moins le droit de vivre qu’un autre (vous me direz, chacun s’arrange avec sa conscience).

Mon Sacré de birmanie ou Birman

Me voilà donc dans le Var, à la rencontre de l’éleveuse et de Olden Des Oliviers (dit « Marius ») un chat Sacré de Birmanie âgé de 6 mois pour lequel j’avais déjà flashé auparavant. Bien qu’il soit rare de trouver des chats si âgés dans les chatterie, ce fût pourtant une belle surprise. Marius est resté longtemps avec sa famille, bien plus que la moyenne, alors certes les 2 premières semaines n’étaient pas évidentes pour lui qui cherchait sa famille sans cesse. Mais ensuite, Marius c’est avéré être un chat d’une intelligence et d’une éducation à toute épreuve. Ces longs mois proche de sa mère et surtout de ses frères et sœurs a permis a mon chat de développer une sociabilité hors du commun avec les autres chats.

Depuis Marius, je suis tombé raid dingue des sacrées de birmanie ou « Birman », race rendu célèbre à juste titre par Karl Lagarfeld (qui ne l’avait jamais rendu à son propriétaire, Baptiste Giabiconi, mais on n’est pas dans CLOSER ici).

Mon dernier chat : Praline, une British Long Hair

Quelques temps après l’adoption de Marius, le désir de lui trouver une copine était très fort (surtout pour lui). Ayant flashé sur les Birmans, je pensais resté sur cette même race mais c’était sans compter sur mon amie qui, un jour comme un autre, tomba amoureuse d’une chatte nommée Praline. Cette British Long Hair a été élevée en famille par une passionnée de la race des Scotish et British.

Moins joueur que le Birman, Le chat British est plus axé “calins” et reste parfait pour toute la famille.

Suite à de nombreuses rencontres avec la chatte et l’éleveuse, nous avons décidé d’adopter Praline qui est, aujourd’hui encore, la meilleure ami de Marius. Très peu de temps après sa sortie de la chatterie des roses de Nice (que je vous recommande vivement si vous désirez un chat pour votre famille), cette petite dernière de 3 mois était déjà une membre à part entière de la famille. Proche des humains et des autres chats pour le plaisir de toute la famille.

Ces premières expériences font sortir plusieurs évidences dont une primordiale à mon goût :

Un élevage et une éducation de qualité sont des facteurs inaliénables à la joie de vivre de votre chat et de vous-même.

C’est en partie la raison pour laquelle aujourd’hui je créé ce blog. Je ne suis pas vétérinaire et je n’ai pas de diplôme de comportementaliste obtenu en ligne mais j’ai la passion. Je m’appuierai sur mes expériences, bonnes ou mauvaises à propos du véto, des différentes croquettes, brosses, arbes à chat, éducation etc. Afin de vous délivrer une version des fait qui soit purement désintéressé et véritablement concrète.

Chers lecteurs à très vite pour un nouvel article !

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